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LE VIEILLISSEMENT ET AUTRES

Avatar de Douce
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  Lien vers ce message 28 Septembre 2016, 22:52

Reprise du dernier message


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RÉFÉRENCE: Évolution-101.com

Comment influencer nos états d’âme.


« Nos états d’âme se perpétuent tant qu’ils ne sont pas interrompus. »

Nos états d’âme ont tendance à se prolonger. Par exemple, la soirée qui suit
une journée de travail stressante sera teintée de la nervosité du bureau.
Inversement, les heures qui suivent une activité ou un événement heureux
seront teintées de gaieté.

Est-ce possible d’influencer ce phénomène de continuité de nos états d’âme ? Oui.
Il suffit de choisir des activités qui ont pour objectif d’interrompre ou de
perpétuer certains états d’âme.
Évidemment, en général, nous voulons mettre fin rapidement à nos états d’âme négatifs
et allonger nos états d’âme positifs.

Voici des activités qui contribuent à mettre fin à nos états d’âme négatifs :

conversation agréable avec un bon ami,
regarder une émission de télévision divertissante,
prendre un bain chaud ou faire de la natation,
pratiquer un sport d’équipe (football, hockey, baseball…),
faire de l’exercice cardiovasculaire pendant au moins 20 minutes,
faire du bénévolat,
lire un roman intéressant.
D’une façon générale, les activités qui demandent de la concentration
ont pour effet d’interrompre le fils de nos pensées et contribuent ainsi
à mettre fin à nos états d’âme.

Voici des choses à éviter afin de ne pas interrompre un état d'âme positif :

être exposé à des nouvelles négatives, par exemple en lisant le journal,
se trouver dans un environnement bruyant ou stressant, par exemple être
coincé dans un bouchon de circulation,
travailler avec une contrainte stressante, par exemple effectuer une tâche
qui doit être absolument terminée pendant la journée,
remettre indûment à plus tard nos obligations (pratiquer la procrastination),
prendre une décision importante,
entretenir des sujets de conversation controversés qui favorisent la dispute.
D’une façon générale, les activités stressantes et les inquiétudes contribuent
à mettre fin à la magie d’un état d’âme positif.

Le type d’activités efficaces pour interrompre ou prolonger ses états d'âme est
propre à chaque individu.
Donc, chacun doit trouver lui-même les activités qui l'influencent.

Conclusion :
Il est utile d'être conscient de l'impact de nos décisions sur nos états d'âme ;
mais les activités similaires aux exemples précédents n’agissent qu’à court terme.
Il nous appartient de cheminer afin d'établir en nous une paix intérieure stable.
Et ainsi vivre d'une manière plus harmonieuse et heureuse.

« Tout acte qui prolonge la paix intérieure est une bénédiction. »



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RÉFÉRENCE: Évolution-101.com

Ne créez pas vous-même votre souffrance.

Trop souvent, nous souffrons inutilement
en alimentant mentalement
nos blessures intérieures, particulièrement
lorsque nous nous sentons
persécutés ou victime d'injustice.
Ressasser nos malheurs ne fait qu'augmenter
notre ressentiment.
Cela peut donner inutilement à notre existence une note dramatique.
Certaines personnes se rendent malheureuses parce qu'elles
revivent sans arrêt
en pensée des souvenirs difficiles.

« Le pire des bourreaux est parfois soi-même. »

Lorsqu'une idée négative se présente à notre conscience,
initialement
elle a peu d'emprise sur nous.
Et elle est inoffensive tant qu'on ne lui
donne pas la force de l'émotion.
Par exemple,
la pensée suivante vient à l’esprit d'un homme récemment séparé :
"J'en veux à ma femme parce qu'elle m'a abandonné".
S’il garde cette pensée active,
il se fait mal. En continuant avec ce sujet en tête,
il donne du poids à cette pensée.
Il la rend valide à ses yeux, jusqu'à se persuader que
son épouse a tous les torts et
qu’il n’est qu'une victime.
Une meilleure approche est de prendre conscience que son
intellect s'apprête à ressasser une pensée indésirable
et repousser rapidement cette dernière.
Cela ne signifie pas que son mariage n'a pas été difficile ;
mais pour l'instant, il prend
la décision de ne pas laisser cette pensée négative
s'installer au niveau de sa conscience.

« Il y a des souffrances inévitables et d’autres
que nous laissons se développer en nous. »

Voici un autre exemple : un individu découvre que quelqu'un
tient des propos déplaisants
à son sujet. S’il réagit en pensant constamment
qu'il a raison de se sentir blessé,
il assombrit son état d'âme.
Par contre, s’il tente d'ignorer la calomnie en faisant
la sourde oreille, il se protège contre cette offense.
Bien sûr, il est impossible d'éviter
à 100% d'être affecté par les difficultés de la vie,
mais il est possible d'atténuer
la souffrance émotionnelle en réagissant de la bonne façon.
Trop souvent, nous aggravons
notre souffrance en ayant une mauvaise attitude
et en repensant sans cesse aux situations
déplaisantes du passé.

Lorsque nous éprouvons du ressentiment ou de la colère
à l'égard de quelqu'un, si nous
avons dès le départ une bonne attitude face à ce sentiment,
il est moins probable qu'il
s'envenime. Mais si nous repensons constamment aux "injustices"
qui nous sont faites
ou aux "mauvais traitements" qui nous sont infligés,
alors nous aggravons la situation.
C'est en alimentant nous-mêmes ces émotions négatives
que nous leur permettons de survivre
longtemps en nous et de nous faire plus de mal.

« Ce que nous devenons est le résultat direct de nos pensées. »



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Se donner droit à l'erreur.

« Les erreurs font partie du tribut à payer pour une vie bien remplie. »
Sophia Loren

Il est normal de faire des erreurs de temps à autre !
Donc il est inutile de vous dénigrer chaque fois que vous commettez une faute.
Vous devez vous faire à l'idée que les erreurs font partie de la vie.
Conséquemment, il n'y a qu'une seule solution,
apprendre à bien gérer celles-ci, voici comment :

Être indulgent avec soi-même
Vous avez fait une erreur importante ?
Alors dites-vous que vous êtes humain. Vous n’êtes donc pas parfait
et personne n’attend de vous que vous le soyez !
Rappelez-vous que les autres font aussi des erreurs.
Est-ce que vous les rejetez pour cette raison ? Non bien sûr.
Donc, faites preuve de la même tolérance avec vous-même.

Occasion de cheminer
Réussir est évidemment plus agréable et plus glorieux que d’échouer.
Mais, que nous le voulions ou non, nous subirons des déceptions ou des échecs.
Ces circonstances désagréables sont des occasions de progresser vers un mieux-être.
Ainsi avec une bonne attitude, les échecs peuvent devenir la fondation
d'un niveau supérieur de compréhension. Nos déceptions et nos souffrances sont
des messagers qui nous communiquent les leçons que nous devons apprendre.

Oublier ses erreurs
Après avoir bien appris vos leçons et après avoir réparé vos erreurs si possible,
oubliez-les simplement. Ne laissez pas les remords et la culpabilité vous anéantir.
De toute façon, nous allons tous commettre d'autres erreurs dans le futur.
Alors, une fois les leçons bien apprises, essayez d'oublier vos erreurs.

Maîtriser son égo
Notre égo veut réussir en toutes circonstances.
Il nous impose parfois une pression inutile en suggérant que
nous devons toujours dépasser les autres. Pourtant, ce n’est pas
possible ni désirable.
Il est même nuisible d'essayer d'être constamment le meilleur.

Circonstances incontrôlables
Certains facteurs extérieurs sont hors de votre contrôle.
Conséquemment, dans certaines circonstances, il est impossible de réussir.
Lorsque l'échec est inévitable, soyez particulièrement tolérant avec vous-même.
Et reconnaissez que votre véritable mérite ne se mesure pas
par vos réussites extérieures.

Échec temporaire
Si vous croyez que votre situation difficile est permanente, vous avez tort.
Il est étonnant de voir jusqu'à quel point notre perspective des différentes
situations change avec le temps.
Par exemple, un emploi qui semblait très difficile au début peut
devenir routinier et presque facile avec le temps.
Donc, même si certains problèmes ou échecs vous semblent permanents,
sachez que la situation ou votre perception de celle-ci changera peut-être.
Si vous acceptez le fait qu’un échec est possiblement temporaire,
il aura moins d'effet nuisible sur vous.
Et vous serez davantage en mesure d'y faire face.

L'autosuggestion
Qu'est-ce que l'autosuggestion ? C’est une technique qui a pour
objectif de s'imposer une idée. Il s'agit par exemple de répéter
plusieurs fois « j’ai droit à l’erreur ! ».
Lorsqu'elle est bien utilisée, l'autosuggestion peut réduire un peu
l'inconfort associé aux fautes. Cette technique ne représente pas une
solution complète, mais elle peut être un petit pas (simple à essayer)
dans la bonne direction.

Ajuster ses attentes
Nos attentes envers la vie sont notre étalon de mesure et
lorsque les circonstances ne correspondent pas à celles-ci,
nous percevons la situation comme un échec. Parfois, un simple
changement d'objectif nous amène à voir notre « erreur »
d'une façon différente. Avoir des attentes n’est pas mauvais en soi,
au contraire. Il s’agit simplement de bien les gérer.

Le droit à l'imperfection
Vous devez abandonner l'illusion perfectionniste que l'on peut cheminer
sans faire d'erreurs. En réalité, s'accorder le droit à l'imperfection
est un des secrets de la réussite. Sans cette tolérance, nous devenons
d'éternels insatisfaits qui nourrissent des doutes sur leurs capacités.
Inversement, en nous donnant droit à l'erreur, nous devenons plus aptes
à surmonter l'adversité.

« Celui qui entretient une trop grande peur de l’échec
ne peut rien construire. »

Cet article ne suggère pas qu’il est plaisant d’échouer.
Il est plutôt question d’avoir une attitude constructive face aux échecs.
Si nous ne pouvons supporter ceux-ci, nous sommes condamnés à éviter
les expériences et les projets nécessaires à notre développement.
Il faut du courage pour changer notre attitude par rapport aux échecs.

« Une personne qui ne s'est jamais trompée
est une personne qui n'a jamais rien essayé. »
Albert Einstein

Conclusion :
Vous désirez une vie remplie de passion et de projets n’est-ce pas ?
Alors une certaine dose d'échecs est inévitable.
Il est préférable de vivre pleinement, en faisant face à l'adversité
de temps à autre, plutôt que de stagner. Si vous désirez vivre la vie de vos rêves,
un certain nombre d'échecs devront faire partie de celle-ci.
C'est inévitable. Mais puisque l'on doit nécessairement faire face
aux épreuves de temps à autre, pourquoi ne pas les utiliser
comme tremplin vers un mieux-être ?

« Il est impossible de repousser nos limites
sans subir un certain nombre d'échecs. »



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  Lien vers ce message 29 Septembre 2016, 1:55

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Dédramatisez vos problèmes

« Celui dont la pensée ne va pas loin verra les ennuis de près. »
Confucius

Trop souvent, nous souffrons inutilement en nous accrochant
à une certaine perception de la réalité.
Voici des questions qui ont pour objectif de changer votre façon de voir un problème :

Quelle sera ma perception de ce problème dans un an ?

Afin de dédramatiser mes problèmes, je fais au besoin l’exercice
de me projeter dans le temps. C’est-à-dire que je me transporte par
la pensée un an dans le futur. Et j'imagine la situation selon ce point
de vue futuriste. Avec cette perspective, la plupart de mes difficultés
m’apparaissent comme des choses beaucoup moins importantes.

Observez votre passé et vous verrez qu’une bonne partie de vos problèmes
ne sont plus après un certain temps que de vagues souvenirs sans importance.
En faisant cet exercice de projection dans le temps, vous serez dans une
meilleure position pour relativiser ce qui vous arrive.
Vous pourrez alors vous poser la question suivante :

« La situation est-elle aussi critique que je le prétends ? »
Exceptionnellement, la réponse pourrait être « Oui » ;
mais dans la grande majorité des cas, la réponse sera « Non ».

Est-ce que j’ai une vision incomplète de la réalité ?
Nous avons des œillères au sujet de certains problèmes,
c’est-à-dire que nous ne voyons qu’une partie de la réalité.
Les quatre questions suivantes ont pour but d'élargir notre vision :

Est-ce que j'ai pris connaissance de toutes les informations pertinentes
au sujet de ce problème ?

Est-ce que j'ignore volontairement certaines sources d'information ?

Est-ce que je sélectionne (consciemment ou inconsciemment) seulement
les informations qui supportent mon point de vue ?

Les informations disponibles confirment-elles vraiment que le problème
est aussi sévère que je le prétends ?

Est-ce que je m’inquiète pour la mauvaise chose ?

Parfois, on ne s’inquiète pas pour des choses vraiment risquées.
Et il arrive que nous nous inquiétions pour des choses peu risquées
parce qu'elles nous touchent émotionnellement.
Par exemple,
certains s'inquiètent de ne pas obtenir d’augmentation de salaire,
mais ils ne s'inquiètent pas de leur santé qui se dégrade peut-être avec le temps.

L’idée n’est pas de trouver des sujets d’inquiétude,
mais de reconnaître que nos appréhensions sont influencées par
nos perceptions et émotions, plutôt que par la véritable ampleur du risque.
Est-ce que j’échangerais certaines choses pour faire disparaître mon problème ?

Il peut être utile de comparer notre problème à des éléments positifs
de notre vie, par exemple l'amour de notre famille,
notre santé, nos talents, notre expérience de la vie, une certaine sagesse.
Cet exercice de comparaison déclenche souvent une dédramatisation spontanée.

Voici pourquoi : en focalisant sur ce qui va mal, nous avons parfois tendance
à oublier ce qui va bien.
Cet exercice a pour but de ramener notre attention sur ce qui va bien.

Si je règle un problème, est-ce que je vais m’inquiéter pour une autre chose ?

Parfois, l’insécurité est en nous et nous cherchons inconsciemment
un sujet de crainte qui la manifeste. Il est donc utile de reconnaître
que notre sujet d’inquiétude est peut-être un choix influencé.
C'est-à-dire qu'il reflète possiblement notre anxiété générale plutôt
que la gravité réelle du problème qui nous inquiète.

Est-ce que ma façon d’agir et/ou mon attitude sont la cause du problème ?

Il est possible que nous soyons la cause de nos propres difficultés.
Eh oui, certains créent des problèmes sans véritable raison.
Personnellement, lors de situations confuses, j’essaie de prendre
du recul afin de mieux juger la situation.

Est-ce que mes attentes accentuent un problème ?

Lorsque nous sommes en présence d’un problème associé à une attente,
par exemple être très déçu de ne pas obtenir un certain niveau de salaire
que l'on croit mériter, il est utile de déterminer si celle-ci est adéquate
ou démesurée.
Par exemple,
est-ce que d’autres personnes dans la même situation ont cette même attente ?

Cette question contribue à mettre en perspective le fait que notre frustration
s’appuie peut-être sur une attente exagérée. Si tel est le cas, le simple fait
de reconnaître la présence de ce phénomène réduit notre frustration.
À plus long terme, il est important de travailler à mieux harmoniser nos
attentes ou objectifs avec la réalité.

Est-ce que je serais moins atteint par ce problème si j’étais moins fatigué ?

Une grande fatigue contribue à nous faire percevoir certains événements ou
situations de façon négative. Et ceci peut avoir pour effet de monter en
épingle un problème qui en temps normal aurait été considéré beaucoup moins
sévèrement. Personnellement dans ce contexte, j’essaie de reconnaître que mon
épuisement a gonflé indûment ma perception du problème.
Et j'imagine quelle serait ma vision de celui-ci si j'étais reposé.
Cet exercice a pour effet d’améliorer un peu mon attitude.

Est-ce que j’ai une perception utopique des problèmes dans la vie ?

S’attendre à ne pas avoir de problèmes est illusoire.
Sans être pessimiste, il faut reconnaître qu’il est normal de trouver sur
son chemin un certain nombre de difficultés. Il est donc important d'ajuster
notre attitude et de réaliser qu'une partie de notre temps sera dédiée
à la résolution de ces problèmes. Personne n'est épargné. Ceci étant dit,
derrière plusieurs problèmes se cachent des opportunités,
voir le paragraphe suivant.

Est-ce que le problème auquel je fais face est une occasion d’apprendre ?

Beaucoup de nos problèmes peuvent être la fondation d'un niveau supérieur
de compréhension. Ainsi, des circonstances désagréables peuvent contribuer
à notre mieux-être. Les difficultés font partie de la vie, on ne peut pas
y échapper. Il est donc sage de voir dans les problèmes non seulement des épreuves,
mais aussi des occasions de cheminer.

Est-ce que je dois changer ma façon de vivre pour éviter les problèmes ?

Certains problèmes jettent de la lumière sur des croyances nuisibles.
Quand tout va bien, il est facile de continuer à vivre avec des comportements
basés sur des convictions erronées. Mais heureusement, la vie nous bouscule
de temps à autre et nous oblige à remettre en question ce qui semblait être évident.
Si vous sentez que vous êtes hésitant, tiraillé ou incertain, vous êtes peut-être
encombré de comportements qui ne correspondent pas à vos valeurs profondes.
Alors, les problèmes ou épreuves deviennent une façon de jeter de la lumière
sur les croyances erronées associées à ces comportements,
qui autrement demeureraient cachées.

Est-ce que j’ai besoin de problèmes pour me motiver à progresser ?

Le confort et le succès nous incitent à la stagnation, alors que les difficultés
et les échecs sont une source de motivation au changement.
Il y a une différence énorme entre subir un échec qui est une pure perte
et se servir d’une difficulté pour avancer. Jetez un œil sur votre passé,
je suis certain que vous pouvez y trouver des revers qui se sont transformés
en opportunité avec le temps. Les échecs peuvent être la fondation d’une nouvelle vie.

Notre vraie nature ne se manifeste jamais aussi clairement qu'au moment
où nous subissons un revers important. Ce contexte difficile peut être la
motivation nécessaire à notre cheminement. Le confort et le succès nous empêchent
de voir certaines vérités. Alors que les difficultés
peuvent être utilisées pour lever ce voile.

Personnalisation :
Les questions précédentes ne sont que des exemples. N’hésitez pas à inventer
de nouvelles questions de dédramatisation et à trouver vos propres réponses.
Nous sommes tous différents ; donc chacun doit trouver l’approche unique
qui lui convient.

Limite, problèmes majeurs :
Les questions de dédramatisation précédentes ne sont pertinentes que pour
des problèmes du type perceptif. Les problèmes très sévères demandent d'autres
approches, incluant au besoin l'aide de professionnels de la santé.

Conclusion :
Lorsque je suis confronté à un problème, je me pose les questions
précédentes et en général je réussis à améliorer un peu ma perception
de la situation. Évidemment, cette approche n’a rien de magique.
Le fait d’explorer les différentes facettes d’une situation difficile
ne la fait pas disparaître.
Mais à tout le moins, cette technique me fait
cheminer vers une meilleure compréhension de la situation et de la vie en général.
Et ceci fait de moi quelqu’un qui tente sincèrement d'utiliser chaque
problème pour grandir un peu.

Être heureux ne veut pas dire que tout soit parfait,
cela signifie seulement que vous avez décidé de voir au-delà de vos problèmes.



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RÉFÉRENCE: Évolution-101.com

Conte : La représentation de la paix

Il était une fois un souverain qui offrit une généreuse récompense
à l'artiste qui ferait la plus belle représentation de la paix.
Plusieurs peintres proposèrent une œuvre. Le souverain regarda attentivement
les différents tableaux. Mais il en garda seulement deux, parmi lesquels
il devait faire un choix final après un examen minutieux.

La première peinture était un lac d'une tranquillité parfaite
qui reflétait des montagnes majestueuses. Toute cette œuvre inspirait le calme.
En regardant ce tableau, tout le monde était d'avis qu'il serait choisi par le souverain.

L'autre peinture représentait également un paysage montagneux.
Mais dans ce tableau, les montagnes étaient rocheuses et abruptes.
De plus, le ciel était chargé de nuages gris desquels émanaient de vifs éclairs.
Finalement au milieu de la toile, il y avait une chute d'eau tumultueuse
parsemée de rochers proéminents.

Le souverain examina particulièrement bien ce tableau tumultueux.
Et il découvrit tout près de la chute un petit buisson qui avait poussé
sur un rocher rugueux. Dans ce buisson, une maman oiseau avait bâti son nid.
Tout près d'un remous d'eau bouillonnant, la maman oiseau était assise sur son nid
apparemment en parfaite sérénité. Inspiré par la tranquillité de l'oiseau,
le souverain choisit ce tableau. Et il se justifia en disant ceci :

"Il est facile d'être en paix dans un endroit calme.
Mais celui qui réussit à l'être au milieu du tumulte
porte le calme en lui-même.
Il devient ainsi une source de sérénité pour tous."



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