jean tilhomme.
Que dis-tu là !! j'étais prête à partir dire bonjour à Morphée pour qu'elle vienne me bercer mais pas avant de voir si tu avais lu mon message ,alors les éclairs de cafard qui assombrissent le jour ,je connais , je connais même très bien mais même si nous ne pouvons pas venir sur ton épaule pour te soulager du fardeau qui te pèses sache que tu es devenu important pour nous toutes ,tu es déjà irremplaçable et indispensable , alors même si je comprends très bien qu'on a parfois besoin de solitude et pas d'inspiration
spontanées pour écrire , que l'encre de l'imprimante de notre cerveau est plus noire que bleue, qu'il est parfois long de pouvoir chasser les nuages ,le proverbe dis
après la pluie , vient le beau temps.
Tu peux prendre des vacances ,nous attendrons ton retour ,moi-même je peux rester deux jours voir plus sans écrire mais il m'est beaucoup difficile de ne pas venir jeter un œil aux nouvelles .
Ce que tu dis m’inquiète , je sais combien la souffrance de nos enfants peut nous être transmissible ,silencieuse et impuissante , que l'on peut aussi avoir le faut sentiment de culpabilité mais ce que je sais , c'est que de venir ici c'est un charmant doux calmant , apaisant et bienfaisant, une petite drogue mais saine et salutaire.
Tu sais Jean-tilhomme , même comme tu dis contagieux de démoral , Nosty trouvera toujours un remède, elle en a tester beaucoup depuis 4 ans mais le plus efficace c'est celui de l'amour de son prochain et pour son prochain , c'est aussi le rêve , l'espoir , l'évasion bref , c'est simple c'est tout ce qui est gratuit qui a le plus de valeurs.
J'ai fortement penser à toi cet après midi en allant faire une bonne marche de 10 km,là j'ai déchargé mes ondes négatives pour prendre une bonne batterie d'ondes positives.
Saches que je suis là , que nous sommes là et qu'un ami n'en est pas un s'il ne vient pas soulager sa peine , ses ennuis ,ses inquiétudes dans le cœur grand ouvert de ses ami(e)s
Je te fais confiance pour que tu te mettes un bon coup de pied au c-l afin de bien repartir avec l'autre pied, OK.
Je t'embrasse bien chat-micalement.
