Brossard Guy Turcotte arrivé à la résidence de son oncle
L'ex-cardiologue Guy Turcotte, libéré il y a une semaine en attente de son deuxième
procès pour le meurtre de ses deux enfants, serait selon toute vraisemblance arrivé
à la résidence de son oncle à Brossard, vendredi après-midi.
Son arrivée s'est faite à la vitesse de l'éclair, vers 15 h 25. Une petite voiture Ã
bord de laquelle se trouvaient trois personnes est arrivée en trombe
sur la rue où se trouve la maison.
La voiture est entrée rapidement dans le garage, dont la porte a été ouverte par une
autre personne qui se trouvait dans la maison. Guy Turcotte semblait être Ã
l'arrière de la voiture, du côté passager.
Une fois la voiture dans le garage, la porte s'est refermée immédiatement.
Rappelons que le 12 septembre, le juge André Vincent, de la Cour supérieure, a autorisé sa
libération en attente de son deuxième procès qui se tiendra en septembre 2015.
Guy Turcotte devra respecter plusieurs conditions. Un couvre-feu lui a notamment été imposé
entre 18 h et 6 h du matin.
L'ex-cardiologue est accusé du meurtre de ses deux enfants, Olivier, cinq ans et Anne-Sophie,
3 ans. Ils ont été poignardés à mort, dans une résidence de Piedmont, en février 2009.
En 2011, au terme d'un premier procès, l'homme aujourd'hui âgé de 42 ans,
avait été reconnu non criminellement responsable en raison de troubles mentaux.
La Cour d'appel a toutefois ordonné la tenue d'un deuxième procès, en novembre dernier.
Attendu sur la Rive-Sud de Montréal
Les nouveaux voisins de Turcotte ne sont pas inquiets
L'arrivée de Guy Turcotte dans un quartier de la Rive-Sud n'empêchera pas ses
voisins de dormir, même si plusieurs résidents ne se doutaient pas qu'ils
habitaient à deux pas de sa famille.
L'ex-cardiologue a été libéré vendredi dans l'attente de son second procès pour
le meurtre de sa fille de 3 ans et son fils de 5 ans. Il séjournera chez son
oncle et sa tante, dont il sera l'aidant naturel
Le sénateur Boisvenu s'oppose à la demande de remise en liberté
Le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu s'est opposé publiquement à la
demande de libération de Guy Turcotte, dans un communiqué publié vendredi.
Cette déclaration fait suite à la demande de remise en liberté de Guy Turcotte
avant la tenue de son nouveau procès en septembre 2015. Ses avocats ont déposé une
requête en ce sens jeudi en Cour supérieure.
«Lors de son premier procès, M. Turcotte a avoué sa pleine culpabilité aux deux chefs
d'accusation de meurtre au premier degré pour avoir sauvagement tué ses enfants.
Je me joins aux victimes et aux Québécois qui ont le bon sens de croire que
ce meurtrier devrait rester en prison», a affirmé le sénateur
Boisvenu dans son communiqué.
Selon lui, le système de justice «libère trop facilement les individus qui
ont commis des crimes graves ou qui sont accusés de les avoir commis».
«Ces libérations avant procès discréditent trop souvent le système judiciaire»,
a ajouté le sénateur.
Guy Turcotte est accusé du meurtre prémédité de ses deux jeunes enfants,
tués en février 2009. Lors de son premier procès, le jury l'avait déclaré
non criminellement responsable pour cause de troubles mentaux.
Il est détenu depuis 57 mois.
L'ex-cardiologue Guy Turcotte, libéré il y a une semaine en attente de son deuxième
procès pour le meurtre de ses deux enfants, serait selon toute vraisemblance arrivé
à la résidence de son oncle à Brossard, vendredi après-midi.
Son arrivée s'est faite à la vitesse de l'éclair, vers 15 h 25. Une petite voiture Ã
bord de laquelle se trouvaient trois personnes est arrivée en trombe
sur la rue où se trouve la maison.
La voiture est entrée rapidement dans le garage, dont la porte a été ouverte par une
autre personne qui se trouvait dans la maison. Guy Turcotte semblait être Ã
l'arrière de la voiture, du côté passager.
Une fois la voiture dans le garage, la porte s'est refermée immédiatement.
Rappelons que le 12 septembre, le juge André Vincent, de la Cour supérieure, a autorisé sa
libération en attente de son deuxième procès qui se tiendra en septembre 2015.
Guy Turcotte devra respecter plusieurs conditions. Un couvre-feu lui a notamment été imposé
entre 18 h et 6 h du matin.
L'ex-cardiologue est accusé du meurtre de ses deux enfants, Olivier, cinq ans et Anne-Sophie,
3 ans. Ils ont été poignardés à mort, dans une résidence de Piedmont, en février 2009.
En 2011, au terme d'un premier procès, l'homme aujourd'hui âgé de 42 ans,
avait été reconnu non criminellement responsable en raison de troubles mentaux.
La Cour d'appel a toutefois ordonné la tenue d'un deuxième procès, en novembre dernier.
Attendu sur la Rive-Sud de Montréal
Les nouveaux voisins de Turcotte ne sont pas inquiets
L'arrivée de Guy Turcotte dans un quartier de la Rive-Sud n'empêchera pas ses
voisins de dormir, même si plusieurs résidents ne se doutaient pas qu'ils
habitaient à deux pas de sa famille.
L'ex-cardiologue a été libéré vendredi dans l'attente de son second procès pour
le meurtre de sa fille de 3 ans et son fils de 5 ans. Il séjournera chez son
oncle et sa tante, dont il sera l'aidant naturel
Le sénateur Boisvenu s'oppose à la demande de remise en liberté
Le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu s'est opposé publiquement à la
demande de libération de Guy Turcotte, dans un communiqué publié vendredi.
Cette déclaration fait suite à la demande de remise en liberté de Guy Turcotte
avant la tenue de son nouveau procès en septembre 2015. Ses avocats ont déposé une
requête en ce sens jeudi en Cour supérieure.
«Lors de son premier procès, M. Turcotte a avoué sa pleine culpabilité aux deux chefs
d'accusation de meurtre au premier degré pour avoir sauvagement tué ses enfants.
Je me joins aux victimes et aux Québécois qui ont le bon sens de croire que
ce meurtrier devrait rester en prison», a affirmé le sénateur
Boisvenu dans son communiqué.
Selon lui, le système de justice «libère trop facilement les individus qui
ont commis des crimes graves ou qui sont accusés de les avoir commis».
«Ces libérations avant procès discréditent trop souvent le système judiciaire»,
a ajouté le sénateur.
Guy Turcotte est accusé du meurtre prémédité de ses deux jeunes enfants,
tués en février 2009. Lors de son premier procès, le jury l'avait déclaré
non criminellement responsable pour cause de troubles mentaux.
Il est détenu depuis 57 mois.