Vous écrivez des textes et des pensées

Bonsoir et merci Dora
Il n'y a vraiment que le soir ou je suis au calme pour lire et écrire alors comme ici en France il est 23h16 je pense que tout le monde dort chez vous, aujourd'hui nous avons eu une très belle journée ensoleillée pour un 12 novembre .
Voici un petit poème pour finir la journée ici et pour commencer la journée du 13 novembre.

Bonjour


Bonjour O ! Vous toute de gentillesse
O ! Vous toute de grâce et toute d’abandon
La nature est parfaite et vous a fait le bon
Des fleurs et du soleil âmes de la jeunesse.

Bonjour O ! Vous toute de gentillesse
O ! Vous qu’on aimerait sur la foi d’un regard
Je bénis ce beau jour et ce charmant hasard
Je suis jaloux des fleurs que votre main caresse.

Bonjour O ! Vous toute de gentillesse
Dans vos beaux yeux je vois briller votre bonté
Je serai bien heureux si vous me permettez
De vous conter l’aveu de toute ma tendresse.

Bonjour O ! Vous toute de gentillesse.

Nicole.

Bonsoir Chère Douce

Tout d'abord je suis un peu perdu sur ce forum,ensuite après une mauvaise manipulation je n'arrivais plus a ouvrir celui-ci ,il y avait un message " erreur qui s'affichait" mais notre gentille Pierrette est vite venue à mon secours , je l'en remercie bien fort.
Douce ,je suis flattée par vos compliments,sachant que la vie ne tient qu'a un fil je fais mon possible pour chaque moment que je partage avec autrui soit un moment de douceur ,de gentillesse , de sourire et de chaleur humaine tout comme vous avez l'air de l'être aussi.
Pour ce qui de ma profonde douleur il faudrait juste que je puisse arriver à survivre avec ,alors c'est ce que je tente de faire quand mes petits enfants sont là pour me redonner le sourire et c'est une aide qui fait la raison de ne pas m'effondrer.

Voici pour ce soir et pour vous ,un hommage comme vous aimez
A bientôt Douce


HOMMAGE A DANIEL BALAVOINE

Comme un héros de guerre, courageux tu lutais,
Contre la misère, la détresse, la pauvreté,
Pour des hommes, des femmes, des enfants,
D’une terre de sécheresse, de famine, de mourants.

Pour eux tu as lutté et mené un combat humain,
Pour toi, il n’y avait pas de frontière contre la soif, la faim.
Et si peu d’hommes ici bas n’avaient ton courage, ta foie,
Avec tes mots, tes paroles, tes chansons, ta voix.

Tu touchais un point sensible de notre cœur profondément,
Tu criais tout haut, ta révolte et tes sentiments,
De tes coups de gueule, de tes coups de poings,
Tu as su convaincre même les plus incertains.

De ta joie de vivre, de ton amour, de ta générosité,
Tu es parti en guerre mais ne verra jamais,
Si ta lutte contre la faim finira un jour,
Si nos larmes pour toi couleront toujours.

Si elles étaient de l’eau que l’on pourrait recueillir,
Combien de tonneaux nous pourrions leur offrir ??
Combien de vie nous pourrions enfin sauver,
Pour continuer ton combat et le gagner.

Car ni pour nous ni pour eux, tu mourras,
Et de ton absence toujours il nous restera,
Ton amour pour les êtres les plus déshérités,
Et un grand vide autour de nous à jamais.

Nostalgie