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Cancer de la prostate

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Mesures préventives de base


Consulter notre fiche Cancer afin de connaître les principales recommandations concernant la prévention du cancer à l’aide des habitudes de vie :
- consommer suffisamment de fruits et de légumes;
- avoir un apport équilibré en gras;
- éviter les excès de calories;
- être actif;
- ne pas fumer;
- etc.
Consulter également la section Approches complémentaires (ci-dessous).




Mesures de dépistage précoce


La Société canadienne du cancer invite les hommes âgés de plus de 50 ans à discuter avec leur médecin de leurs risques d’être atteints d’un cancer de la prostate et de la pertinence du dépistage11.

Deux tests peuvent être utilisés par les médecins pour tenter de dépister de manière précoce un cancer de la prostate chez des hommes qui n’ont aucun symptôme :
- le toucher rectal;
- le test de l’antigène prostatique spécifique (APS).

Cependant, leur usage est controversé et les autorités médicales ne recommandent pas le dépistage précoce chez les hommes sans symptômes10,38. Il n’est pas certain qu’il améliore les chances de survie et allonge la durée de vie. Il se pourrait donc que, pour la majorité des hommes, les risques (inquiétudes, douleurs et séquelles possibles en cas d’évaluation approfondie à l’aide d’une biopsie) l’emportent sur les bienfaits du dépistage.




Autres mesures pour prévenir l’apparition de la maladie

◾ Suppléments de vitamine D. À la lumière des résultats de diverses études, la Société canadienne du cancer recommande aux Canadiens, depuis 2007, de prendre un supplément de 25 µg (1 000 UI) par jour de vitamine D en automne et en hiver40. Un tel apport en vitamine D réduirait les risques de cancer de la prostate et d’autres cancers. L’organisme suggère aux personnes présentant des risques plus élevés de carence en vitamine D - ce qui inclut les personnes âgées, les personnes dont la pigmentation de la peau est foncée et les personnes qui s’exposent rarement au soleil - d’en faire autant durant toute l’année.
Remarque. Plusieurs experts estiment que la position de la Société canadienne du cancer reste trop conservatrice par rapport aux données scientifiques probantes. Ils recommandent plutôt un dosage quotidien de 2 000 UI à 4 000 UI de vitamine D3. En été, la dose pourrait être réduite, à condition de s’exposer au soleil régulièrement (sans crème solaire, mais sans prendre de coup de soleil).
◾ Finastéride (en cas de risque élevé de cancer de la prostate). Le finastéride (Propecia®, Proscar®), un médicament d’abord indiqué pour traiter l’hypertrophie bénigne de la prostate et la calvitie, peut aussi contribuer à prévenir le cancer de la prostate. Cet inhibiteur de la 5-alpha-réductase, un enzyme, bloque la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone, la forme active de l’hormone à l’intérieur de la prostate.
Lors d’une vaste étude9, les chercheurs avaient noté une association entre la prise du finastéride et une détection légèrement plus fréquente d’une forme grave du cancer de la prostate. L’hypothèse selon laquelle le finastéride augmenterait le risque de cancer de la prostate grave a été réfutée depuis. On sait maintenant que la détection de cette forme de cancer a été facilitée par le fait que le volume de la prostate avait diminué. Une prostate plus petite aide à la détection des tumeurs.
◾ Le dutastéride (Avodart®), un médicament qui appartient à la même classe que le finastéride, aurait un effet préventif similaire à celui du finastéride. C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude publiée en 201012.
Important. S’assurer que le médecin qui interprète le test sanguin de l’antigène prostatique spécifique (APS ou PSA) est au courant du traitement au finastéride, lequel abaisse le taux d’APS.



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Traitements médicaux du cancer de la prostate


Passeport Santé


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Plusieurs options de traitement sont disponibles, selon le stade et la rapidité d’évolution du cancer de la prostate. Elles doivent être discutées avec le médecin traitant qui informera le patient des risques et des bénéfices inhérents à chaque traitement.

Attente sous surveillance

Il se peut que l’on choisisse l’attente sous surveillance (plus ou moins active, selon le cas) comme option thérapeutique lorsque la tumeur est bien circonscrite (les cellules cancéreuses sont confinées à la prostate). On ne donne alors pas de médicaments et on ne pratique pas de chirurgie, mais on surveille de près l’évolution de la tumeur.

D’ailleurs, si la tumeur croît très lentement, et que la personne atteinte est âgée, la tumeur n’aura pas le temps de grossir avant que d’autres problèmes de santé ne surviennent. En effet, comme les traitements plus invasifs occasionnent souvent des complications (douleur, incapacité à avoir une érection, incontinence urinaire, infection), il est parfois préférable d’observer sans intervenir.

Chirurgie

Lorsque les cellules cancéreuses n'ont pas migré, on peut les éliminer de l'organisme en retirant la prostate (prostatectomie totale) et certains tissus adjacents (vésicules séminales). Cette opération chirurgicale peut entraîner certains problèmes, comme de l’incontinence urinaire et des troubles d’érection. Les troubles d’érection surviennent chez environ 1 homme sur 5 dans la cinquantaine qui subit une prostatectomie. Les fonctions érectiles et urinaires reviennent habituellement à la normale au cours des 2 années qui suivent l’opération.

Si le cancer est à un stade avancé et qu’il y a des métastases, un autre type de chirurgie peut être réalisé : l’orchiectomie (ou orchidectomie). Elle consiste à retirer les testicules afin de priver les cellules cancéreuses de la testostérone.

Cryochirurgie

Pour certains cancers de très petite taille ou pour des lésions précancéreuses, on utilise parfois un froid intense (créé par de l'azote liquide) afin de geler et tuer les tissus concernés.

Radiothérapie

Elle consiste à détruire les cellules cancéreuses à l’aide de radiations électromagnétiques externes (émises par un appareil de radiothérapie), en essayant d’épargner les tissus sains périphériques. La radiothérapie représente une alternative à la chirurgie, lorsque la tumeur est bien circonscrite.

La curiethérapie est une autre forme de radiothérapie parfois employée. Des substances radioactives, dont les radiations tueront les cellules cancéreuses, sont introduites dans le corps du patient à proximité de la tumeur. Pour ce faire, on peut procéder de diverses façons (par exemple, un implant peut être introduit dans la prostate).

Traitement hormonal

Cette approche, à long terme, vise à administrer des médicaments qui vont agir pour priver les cellules cancéreuses des hormones mâles dont elles ont besoin pour croître. Elle permet de réduire la taille de la tumeur et d’envisager un traitement de radiothérapie. Elle est aussi indiquée pour ralentir l’évolution du cancer de la prostate.

Chimiothérapie

La chimiothérapie est réservée aux cancers accompagnés de métastases qui ne répondent plus au traitement hormonal. Elle consiste à administrer, par injection ou sous forme de comprimés, des agents chimiques toxiques afin d’éliminer les cellules cancéreuses. Il en existe plusieurs, qui possèdent différents mécanismes d’action et différents effets indésirables.


En juillet 2011, Santé Canada a approuvé un nouveau médicament destiné aux patients atteints d’un stade avancé du cancer de la prostate (avec métastases), qui résiste aux traitements de chimiothérapie15. L’abiratérone (Zytiga®) agit en réduisant la production d’hormones androgènes par les testicules, et aussi par les glandes surrénales et la tumeur. Le médicament est administré par voie orale en association avec de la prednisone, un type de corticostéroïdes. Il avait été approuvé aux États-Unis par la Food and Drug Administration (FDA) en avril 2011.


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L'opinion de notre médecin


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Dans le cadre de sa démarche de qualité, Passeportsanté.net vous propose de découvrir l’opinion d’un professionnel de la santé. Le Dr Jacques Allard, médecin généraliste, vous donne son avis sur le cancer de la prostate :



Le dépistage précoce du cancer de la prostate par le toucher rectal et le dosage de l’antigène prostatique spécifique (APS ou PSA) est un sujet très controversé dans le monde médical.

Cette controverse est d’abord et avant tout alimentée par le fait qu’il n’a pas été démontré, par des études, que le dépistage permet d’allonger la durée de vie ou de diminuer la mortalité liée à ce cancer.

Le résultat du test de dosage du PSA est difficile à interpréter, particulièrement lorsqu’il est positif. Par conséquent, un résultat anormal implique presque toujours de procéder à une biopsie, avec les inquiétudes et les complications potentielles que cela comporte; ne serait-ce que la douleur associée à la procédure.

Les résultats obtenus par biopsie permettent d’estimer si la tumeur évoluera de façon rapide ou non. Dans la majorité des cas, les biopsies révèlent des tumeurs qui évolueront lentement. Dans cette situation, beaucoup d’hommes choisiront tout de même un traitement par prostatectomie totale, s’exposant à des séquelles non négligeables, comme l’incontinence urinaire et l’impuissance. Plusieurs études ont confirmé que les risques de surdiagnostiquer et de surtraiter la maladie sont bien réels. Cela dit, pour les cas peu fréquents où la tumeur risque d’évoluer rapidement, il est évident que le dépistage précoce peut s’avérer bénéfique.

Devant cette difficile question d’entreprendre ou non un dépistage, vous devez évidemment tenir compte de vos valeurs et de votre propre tolérance au risque.

Mon conseil est le suivant : si vous ne présentez aucun symptôme de maladie de la prostate (comme de la difficulté à amorcer la miction, une diminution du jet urinaire ou le fait de se lever plusieurs fois durant la nuit pour uriner) et que vous n’avez aucun antécédent familial de cancer de la prostate, discutez avec votre médecin des avantages et des inconvénients d’un dépistage. Par contre, si vous présentez des symptômes, il m’apparaît alors évident que les tests deviennent nécessaires.



Dr Jacques Allard, M.D., FCMFC





Révision médicale (août 2011) : Dr Jacques Allard, M.D.,

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Approches complémentaires

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Important. Les approches suivantes concernent le cancer de la prostate. Plusieurs autres approches peuvent contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’un cancer (par exemple, l’acupuncture, la massothérapie et le yoga). Consulter notre fiche Cancer pour un survol de l’ensemble des approches les plus étudiées. L’autotraitement est cependant déconseillé. Il est recommandé d’en discuter avec son médecin et de choisir des thérapeutes détenant une expérience avec des personnes atteintes de cancer.



En prévention

Efficacité possible

Aliments riches en lycopène, produits du soja (tofu, lait de soja)

Voir la légende des symboles


Efficacité incertaine

Sélénium, vitamine E


En traitement


Efficacité possible

Biofeedback (contre l’incontinence urinaire après une chirurgie à la prostate)


Efficacité incertaine

Lycopène


En prévention

Efficacité possible Aliments riches en lycopène. Selon une analyse des experts du World Cancer Research Fund (WCRF), il existe un faisceau de preuves suffisant en faveur des effets protecteurs des aliments contenant du lycopène, en particulier la tomate et ses produits dérivés, sur le cancer de la prostate44. L’effet augmenterait avec la dose, et le lycopène serait mieux absorbé lorsque les aliments sont cuits et broyés.

Efficacité possible Produits du soja (soya). La prévalence du cancer de la prostate est relativement faible en Asie. La forte consommation de soja pourrait expliquer ce phénomène, du moins partiellement45. L’effet préventif des produits de soja contre ce cancer a été observé dans le cadre de diverses études20,21. Seuls les produits non fermentés, comme le tofu ou le lait de soja, seraient efficaces.
Dosage
Selon les recherches, la consommation quotidienne de 80 g à 160 g de produits de soja non fermentés peut avoir un effet préventif. Pour plus de détails, consulter notre fiche Protéines de soja.

Efficacité incertaine Sélénium. Les résultats d’un essai clinique publié en 1996, auquel avaient participé 1 312 sujets pendant 6 ans (Nutritional Prevention of Cancer Study), suggéraient que la prise de suppléments de sélénium avait un effet préventif contre le cancer de la prostate24. Or, une vaste étude menée ultérieurement n’a pas été concluante. Cette dernière étude a été financée par les National Institutes of Health des États-Unis (étude SELECT)25. Pour en savoir plus, consulter notre fiche Sélénium.

Efficacité incertaine Vitamine E. Les données sur l’effet préventif de la vitamine E, qu’elle soit apportée par l’alimentation ou sous forme de suppléments, sont contradictoires. Les études récentes suggèrent néanmoins qu’elle serait peu efficace, hormis chez les fumeurs30,32. En 2008, un essai clinique d’envergure (étude SELECT)34 a même été interrompu avant son terme : les données préliminaires indiquaient que l’incidence du cancer de la prostate était légèrement plus élevée chez les participants qui prenaient seulement de la vitamine E que dans les autres groupes.


Important. Certains experts estiment qu’il serait prudent de procéder à un dosage de l’antigène spécifique prostatique (APS ou PSA) dans le sang33 avant de prendre des antioxydants en suppléments (comme le sélénium ou la vitamine E) dans le but de prévenir le cancer de la prostate. Une étude indique que lorsque le taux de PSA dans le sang est supérieur à 3 µg/l (indiquant qu’une personne présente un risque élevé de cancer de la prostate), les antioxydants auraient l’effet inverse : ils contribueraient à ce type de cancer.


En traitement

Efficacité possible Biofeedback (contre l’incontinence urinaire). Certains hommes peuvent souffrir d’incontinence urinaire après avoir subi une chirurgie à la prostate. Dans une synthèse d’études13, le biofeedback est considéré comme un traitement pouvant apporter certains bénéfices aux hommes vivant ce problème. Ainsi, l’entraînement des muscles du plancher pelvien, accompagné du biofeedback, serait propice à un meilleur contrôle de la vessie lorsqu’il suit de près le retrait du cathéter en période postopératoire.

Efficacité incertaine Lycopène. En 2007, le rapport du World Cancer Research concluait, après analyse des études sur le sujet, que le lycopène freine le développement du cancer de la prostate. Cet effet serait d’autant plus marqué que le stade du cancer est avancé. Toutefois, une autre synthèse d’études parue en 2009 a indiqué qu’il était impossible de se prononcer sur les effets du lycopène comme traitement d’appoint en l’état actuel des connaissances16. Les chercheurs ont néanmoins souligné que le lycopène pourrait atténuer certains symptômes, comme la douleur et les troubles de la miction.


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Sites d’intérêt
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Pour en savoir plus au sujet du cancer de la prostate, Passeportsanté.net vous propose une sélection d’associations et de sites gouvernementaux traitant du sujet du cancer de la prostate. Vous pourrez ainsi y trouver des renseignements supplémentaires et contacter des communautés ou des groupes d’entraide vous permettant d’en apprendre davantage sur la maladie.


Canada

Collège des médecins du Québec
Voyez un document rédigé à l’intention des hommes de 50 ans à 70 ans, intitulé Réflexions avant de subir un test pour le dépistage du cancer de la prostate, avantages et inconvénients du dépistage.
www.cmq.org

Fondation québécoise du cancer
Créée en 1979 par des médecins qui voulaient redonner de l’importance à la dimension humaine de la maladie, cette fondation offre plusieurs services aux personnes atteintes d’un cancer. Les services offerts varient selon les régions. Par exemple, de l’hébergement à faible prix pour les personnes atteintes et leurs proches, de la massothérapie, des soins d’esthétique ou du Qi Gong.
www.fqc.qc.ca

Prostate Cancer Canada
Cet organisme récolte des fonds afin de financer la recherche sur le traitement du cancer de la prostate et sa prévention. Des spécialistes sont disponibles pour répondre aux questions sur la maladie.
www.prostatecancer.ca

PROCURE
Cet organisme sans but lucratif travaille en étroite collaboration avec des médecins spécialistes pour lutter contre le cancer de la prostate. Les renseignements sur la maladie sont disponibles en français et en anglais. On peut y commander un livre gratuit intitulé Comprendre le cancer de la prostate, rédigé par deux urologues du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM).
www.procure.ca

Société canadienne du cancer
En plus d’encourager la recherche et la prévention du cancer, cet organisme bénévole apporte du soutien affectif et matériel aux personnes atteintes de cancer depuis sa création, en 1938. Chaque province compte son bureau local. Leur service d’information téléphonique, destiné aux gens atteints de cancer, à leurs proches, au grand public ainsi qu’aux professionnels de la santé, est bilingue et gratuit. La référence pour trouver réponse à ses questions sur le cancer.
www.cancer.ca
Service d’information sur le cancer : 1-888-939-3333
Cancer de la prostate : www.cancer.ca

En toute vérité
Une série de vidéos en ligne présentant des témoignages touchants de patients qui expriment ce qu’ils ont vécu durant leur expérience globale du cancer. Certains sont en anglais, mais des transcriptions complètes sont offertes pour toutes les vidéos.
www.vuesurlecancer.ca

France

Carenity.com
Carenity est le premier réseau social francophone proposant une communauté dédiée au cancer de la prostate. Elle permet aux patients et à leurs proches de partager leurs témoignages et leurs expériences avec d'autres patients et de suivre l'évolution de leur santé.
www.carenity.com

Guerir.org
Créé par le regretté Dr David Servan-Schreiber, psychiatre et auteur, ce site Internet met l’accent sur l’importance d’adopter de bonnes habitudes de vie pour prévenir le cancer. Il se veut un lieu d’information et d’échanges sur des approches non conventionnelles pour lutter contre le cancer ou le prévenir.
www.guerir.org

Ligue nationale contre le cancer
Pour de l’information et des services aux personnes atteintes de cancer.
www.ligue-cancer.asso.fr

Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer

www.fnclcc.fr

Prostate-Cancer.fr
On y trouve notamment des vidéos sur divers traitements et des renseignements sur le suivi médical (infertilité, impuissance, etc.).
www.prostate-cancer.fr

États-Unis

Memorial Sloan-Kettering Cancer Center
Ce centre, lié au Memorial Hospital, à New York, est pionnier en matière de recherche sur le cancer. Il représente entre autres une référence pour une approche intégrée contre le cancer. On trouve sur leur site une base de données qui évalue l’efficacité de plusieurs plantes, vitamines et suppléments (en anglais seulement).
www.mskcc.org

Moss Report
Ralph Moss est un auteur et conférencier reconnu dans le domaine du traitement du cancer. Il porte une attention particulière à l’élimination des toxines présentes dans notre environnement, qui peuvent contribuer au cancer. Ses bulletins hebdomadaires suivent l’actualité en matière de traitements alternatifs et complémentaires contre le cancer, de même que sur les traitements médicaux.
www.cancerdecisions.com

National Cancer Institute et Office of Cancer Complementary and Alternative Medicine
On trouve sur ces sites (en anglais seulement) un excellent aperçu de l’état des recherches cliniques portant sur une vingtaine de traitements non conventionnels, dont le 714-X, le régime Gonzalez, le Laetrile et la formule Essiac.
www.cancer.gov

Prostate Cancer Foundation
Cette fondation finance la recherche sur le traitement du cancer de la prostate. Ce site comprend une foule de renseignements médicaux sur la maladie.
www.pcf.org


Consulter la liste des Groupes de soutien Cancer de la prostate.


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Références

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