Mes mains.

Quelques fois, sans trop savoir que faire, ce soir je me surprends à regarder mes mains.
Je me dis, que pour mon âge avancé, mes mains sont encore belles et pas trop ridés,
Même si elles ont beaucoup travaillé dur pour façonner ma vie.
Quelques fois des gens me disent, que j’ai des doigts magique de les voir accomplir des
Travaux complexe qu’ils ne pouvaient accomplir eux même.

Quand je regarde mes mains, elles deviennent comme le miroir de mon passer.
Je me vois tout petit, voyant les mains de maman, si belles, rosé et douce comme un pétale de rose, qui délicatement me lavais, me coiffais, épongeais mes yeux qui pleurais, et me caressais les joues, avec tellement de tendresses et d’amour.

Dans le creux de ma main j’y vois aussi, comme dans un miroir, sont sourire, et sens son souffle
Comme une douce brise printanière, caressant ma joue d’une chaleur assèchent mes yeux.
Maman mas appris, à joindre mes mains pour prier, elle mas montrer comment tenir les ustensiles pour me nourrir, ainsi qu’à tenir un crayon, pour écrire, sachant que peut être un jour,
Je raconterais ces mains, et les mémoires de ma vie.
À chaque premier jour d’une nouvelle année, papa avec ses mains nous donnais sa bénédiction, demandant au seigneur, de faire descendre sur nous ses grasses pour que cette année à venir ne soit pas trop difficile à traverser.
Tous les ans, je fais de même avec mon fils,

Mon enfance et mon adolescence on passer, et à 20 ans, déjà mes mains avais beaucoup travaillé pour façonner ma vie.
Et l’a par un beau soir de printemps, j’ai rencontré l’amour, ses mains si douce ressemblait au mienne, et main dans la main, on n’avait pas besoins de se parler. Un courent fluide d’amour
Circulait et traversais nos cœurs qui n’avais nullement besoins de paroles pour se comprendre
Et être heureux.

Naissait ainsi en nous un grand amour, qui parfois semait des larmes sur nos joues, mes mains, épongeais ses larmes qui inondais ses joues, car dans l’amour il n’y a pas que du bonheur très souvent il y a aussi des pleurs.
Quand de notre amour, est née une petite fleur incomplète manquant quelques pétales,
Souvent se sont jointes mes mains pour prier le seigneur, de ne pas laisser mourir cette merveilleuse fleur né de notre amour.

Alors il prit ma main et y déposas tant de tendresses, pour m’aider à la faire fleurir, et grandir
Sous un rayon de soleil emplit d’amour. De mes mains avec tendresse, j’ai épongé les larmes qui inondais les joues de celle qui par amour m’avais donné cette fleur que l’on a aimé plus que notre vie.

Maintenant, celle dont j’ai tenu tendrement les mains tant d’années, le maitre ne pouvant plus
La voir souffrir, est venu la chercher pour l’amener dans son royaume où il ni a plus de
Souffrance. Ce soir regardant encore mes mains comme dans un miroir, je vois tant de souvenirs, que je ne peux m’empêcher de les regarder, et de les admirer de tout ce qu’elles ont pu façonner dans ma vie d’amour.

Aujourd’hui, elles me servent encore à caresser ma fleur, avec tant d’amours et de tendresses me rendant heureux, même si je dois éponger mes yeux de ses larmes, dont mon cœur n’en finit plus de se vider de ses chagrins qui ne veulent plus le quitter.

Mes mains qui maintenant ont atteint un âge avancé, et qui commencent à se refroidir,
Mon cœur encore plein d‘amours et de chagrins les réchauffes, pour qu’elles puissent tenir un crayon écrivant avec mes larmes venant du plus profond de mon cœur, les mots décrivent
Le chemin de ma vie que j’ai suivie en tenant les mains de celle qui mas accompagné dans ces sentiers que le destin avais emplies d’embuches.

Je sais maintenant, que bientôt en tendant mes mains vers le ciel, elle va les saisir et les attirez vers elle pour poursuivent notre amours que l’on s’était juré éternel.

Un jour, une personne m’a demandé si je pouvais écrire un texte, racontant les mains.
Voilà c’est fait! Et j’y ai mis tous mes souvenirs et l’amour, que me dictais mon cœur
Qui l’a fait en se libérant de ses chagrins.

Ce texte a été écrit, sous un air de douce musique,

You are always on my mind.

                                            
               Robert pelletier.
               27-12-2011
 

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